Reportage - A 88 ans, elle continue de nous surprendre
Elle a eu mille et une vies, à 88 ans Yoland Barat gère encore un institut de beauté à Grenoble. Mais avant cela, la route a été longue et semé d'embuches, voici son histoire.

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Les championnats de France de tennis fauteuil
Jusqu'à dimanche, le Grenoble Tennis accueille les Championnats de France par équipes de Tennis-Fauteuil. Accès libre tout le week-end au siège du club (100 avenue de la Mogne à Grenoble) pour découvrir une discipline mise en avant lors des derniers Jeux Paralympiques de Paris.
Un nouveau festival sur l'histoire de nos montagnes

À partir d’aujourd’hui et jusqu’à dimanche, Grenoble devient le théâtre du tout premier Festival d’histoire de la montagne, une initiative sans précédent dans la région alpine. Né d’un partenariat entre le Musée dauphinois, l’Université Grenoble Alpes et la revue L’Alpe, ce nouveau festival se veut un pont entre savoirs scientifiques et passion populaire. Accès libre & ouvert à tous.
Miracle en gare de Voiron
Ce jeudi, une jeune femme a manifestement voulu se suicider en descendant sur les rails au moment ou le TER Lyon-Grenoble arrivait en gare de Voiron. Mais certainement dans un réflexe de survie, elle s'est couchée entre les rails au dernier moment. Quatre wagons sont passés au-dessus d'elle sans la toucher. Elle s'en sort indemne.
Le FCG craque à la sirène !
Ce jeudi soir, en ouverture de la 26ème journée de Pro D2, Grenoble a craqué dans les dernières secondes dans le derby face à Valence-Romans en encaissant un essai après la sirène (26-22). Le FCG concède sa troisième défaite en 4 matchs mais reste leader du championnat.
Vencorex : 6000 emplois vont disparaître
Pour Christophe Ferrari, président de la métropole et maire du Pont-de-Claix, la reprise à minima de Vencorex par un groupe chinois validée ce jeudi par le tribunal de commerce de Lyon est "une marée noire, une catastrophe pour l'industrie locale et une catastrophe pour la chimie française. La réalité ce n'est pas 450 emplois supprimés ou 50 sauvés, c'est 6000 emplois qui vont disparaitre sur l'agglomération grenobloise tellement l'impact de cette déflagration va se répercuter sur l'ensemble du tissu industriel grenoblois. Et ce chiffre est sans doute sous estimé aujourd'hui."