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29/10/2024
Severine Dejoux était l'invitée du JT !
Début septembre, l’entreprise de chimie, basée à Pont-de-Claix, a été placée en redressement judiciaire. Faute de repreneur dans les délais impartis, le délai a été prolongé de quelques jours et, finalement, un seul repreneur s’est manifesté : une filiale d’un groupe chinois, qui propose de ne reprendre qu’un seul atelier et une vingtaine de personnes sur un total de 440 salariés.
C’était il y a une semaine. Depuis, les salariés sont en grève et bloquent le site. Soutenue par les collectivités locales, Séverine Dejoux, déléguée du syndicat CGT et invitée du JT, nous explique pourquoi c’est l’avenir de toute la plateforme chimique qui est menacé.
Plus qu’un simple match, c’est un véritable bras de fer qui a débuté il y a quelques semaines entre Vencorex, et surtout, entre les éventuels repreneurs et ses salariés.
Début septembre, l’entreprise de chimie, basée à Pont-de-Claix, a été placée en redressement judiciaire. Faute de repreneur dans les délais impartis, le délai a été prolongé de quelques jours et, finalement, un seul repreneur s’est manifesté : une filiale d’un groupe chinois, qui propose de ne reprendre qu’un seul atelier et une vingtaine de personnes sur un total de 440 salariés.
C’était il y a une semaine. Depuis, les salariés sont en grève et bloquent le site. Soutenue par les collectivités locales, Séverine Dejoux, déléguée du syndicat CGT et invitée du JT, nous explique pourquoi c’est l’avenir de toute la plateforme chimique qui est menacé.
Début septembre, l’entreprise de chimie, basée à Pont-de-Claix, a été placée en redressement judiciaire. Faute de repreneur dans les délais impartis, le délai a été prolongé de quelques jours et, finalement, un seul repreneur s’est manifesté : une filiale d’un groupe chinois, qui propose de ne reprendre qu’un seul atelier et une vingtaine de personnes sur un total de 440 salariés.
C’était il y a une semaine. Depuis, les salariés sont en grève et bloquent le site. Soutenue par les collectivités locales, Séverine Dejoux, déléguée du syndicat CGT et invitée du JT, nous explique pourquoi c’est l’avenir de toute la plateforme chimique qui est menacé.
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29 OCTOBRE À 18:00
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